Je me souviens encore de ma première tentative de corder une raquette de tennis. C’était un véritable désastre ! Les cordes partaient dans tous les sens, et j’ai bien failli abandonner. Aujourd’hui, après des années de pratique, je peux dire que cette expérience m’a beaucoup appris. Laissez-moi partager avec vous mes galères et mes réussites.
Mon Histoire avec le Cordage
Vous savez, c’est comme la cuisine : au début, on suit religieusement les recettes, puis on commence à improviser. J’ai commencé avec une vieille machine à corder héritée de mon oncle. Elle grinçait comme une porte de film d’horreur, mais elle m’a appris les bases !
Le Matos : Par Quoi Commencer ?
Je ne vais pas vous mentir, au début, j’ai voulu faire des économies. Grosse erreur ! Voici ce qui m’a vraiment sauvé la mise :
- Une machine à corder fiable (j’ai craqué mon PEL, mais ça valait le coup !)
- Des cordages de qualité (on peut se faire plaisir ici)
- Une bonne pince (la mienne a 10 ans et fonctionne toujours nickel)
La Technique qui Marche Pour Moi
Tenez, l’autre jour, je devais raccorder une raquette de tennis pour un ami. Je lui ai dit : « C’est comme faire un bon café – la précision fait toute la différence. » Je commence toujours par les cordes verticales, en prenant mon temps. Pas de précipitation, on n’est pas aux urgences !
Les Galères Qu’on Connaît Tous
Je me rappelle cette fois où j’ai cassé trois cordes d’affilée. Ma femme m’entendait pester depuis la cuisine ! Maintenant, je sais que :
- La patience est vraiment la clé
- Une bonne lumière fait la différence (j’ai installé une lampe d’architecte)
- La tension, c’est comme la cuisson des pâtes : il faut la tester
Mon Petit Guide des Cordages
Au fil des années, j’ai tout testé. Le polyester ? Parfait pour les gros frappeurs comme mon neveu qui cogne comme un sourd. Les multifilaments ? Un vrai bonheur pour mes vieux genoux. Le boyau naturel ? Un jour, peut-être, quand j’aurai gagné au loto !
Les Bêtises Que J’ai Faites (Pour Que Vous les Évitiez)
L’autre jour, je discutais avec Marc, mon partenaire de tennis, de nos pires erreurs. On a bien ri ! Ma préférée ? Quand j’ai voulu faire le malin en cordant à une tension maximale. Résultat : cadre fendu et ego en miettes. Maintenant, je reste raisonnable, entre 23 et 27 kg selon l’humeur (et la météo !).
L’Entretien, ou Comment Faire Durer le Plaisir
Tiens, petite anecdote : mon fils a laissé sa raquette dans la voiture en plein été. Le cordage a tellement morflé qu’on aurait dit des spaghettis trop cuits ! Depuis, je suis devenu un peu maniaque :
- Je range toujours ma raquette dans une housse thermique
- Je vérifie les cordes après chaque match
- Je note la date du dernier cordage sur le cadre (merci le marqueur indélébile !)
Quand Faut-il Recoder ? Mon Petit Truc
Vous connaissez sûrement la règle du « nombre de jeux par semaine = nombre de cordages par an ». Perso, je trouve ça un peu simpliste. Je préfère me fier à mon ressenti. Quand mes balles commencent à partir en cacahuète plus souvent qu’à leur tour, c’est le signal !
L’Impact sur le Jeu : Du Concret !
La semaine dernière, j’ai fait un test avec deux raquettes identiques mais cordées différemment :
- Une en polyester à 25 kg : parfaite pour mes coups lifts
- L’autre en multifilaments à 23 kg : un régal pour le service-volée
La différence ? Comme entre une 2CV et une Ferrari (bon, j’exagère à peine).
Mes Petites Astuces de Vieux Briscard
Après 15 ans à corder des raquettes, j’ai mes petites manies :
- Je corde toujours le matin, quand je suis frais
- J’écoute du jazz (ça me détend)
- Je fais une pause café toutes les 20 minutes
- Je vérifie trois fois l’alignement (oui, je suis un peu obsessionnel)
Le Cordage Selon Votre Style
C’est comme les chaussures : il faut essayer pour trouver son bonheur. Mon pote Bernard, qui joue comme un bûcheron, jure par les cordages ultra-résistants. Moi, avec mon jeu plus « artistique » (comprendre : je suis une quiche en fond de court), je préfère du confort.
Les Nouvelles Technologies
Vous avez vu ces nouveaux cordages texturés ? J’ai testé le mois dernier. Franchement, c’est bluffant ! Même si je reste un peu old school, faut reconnaître que l’innovation, ça a du bon.
Pour conclure, je dirais que corder sa raquette, c’est un peu comme faire du vélo : une fois qu’on a trouvé son équilibre, on ne l’oublie plus. Alors, qui se lance ? N’hésitez pas à me raconter vos premières expériences, je sens qu’on va bien rigoler !
Et vous, c’est quoi votre plus grosse boulette en cordant une raquette ? Perso, j’en ai tellement que je pourrais écrire un livre !